3.

Utiliser la partition de swap FreeBSD sous LinuxAprès avoir redémarré Linux, lancez dmesg, ce qui devrait donner quelque chose comme ça :Partition check: hda: hda1 hda2 hda3 hda4 < hda5 hda6 hda7 hda8 >Cela signifie que /dev/hda4 est votre tranche FreeBSD, alors que /dev/hda5, /dev/hda6, /dev/hda7 et /dev/hda8 sont les partitions FreeBSD. Si votre partition de swap est la seconde partition de la tranche, c'est /dev/hda6.Il faut placer la ligne suivante dans votre fichier /etc/fstab pour valider la partition de swap :/dev/hda6 none swap sw 0 0Alors que FreeBSD peut utiliser n'importe quelle partition comme espace de swap, Linux a besoin d'une signature spéciale dans cette partition. Cette signature est créée par mkswap. FreeBSD la détruit quand il utilise la partition de swap partagée, il faudra donc lancer mkswap à chaque fois que vous démarrez sous Linux. Pour faire ceci automagiquement, il faut trouver le script qui lance swapon au démarrage. Dans Red Hat Linux c'est /etc/rc.d/rc.sysinit. Dans Debian GNU/Linux, c'est /etc/init.d/boot. Placez la ligne suivante dans ce fichier juste avant swapon -a :awk -- '/swap/ && ($1 !~ /#/) { system("mkswap "$1"") }' /etc/fstabCeci lancera mkswap sur toutes les partitions de swap définies dans /etc/fstab à chaque démarrage sauf si elles sont commentées (ont ``#'' comme premier caractère de la ligne).Sous Linux, lancez free pour vérifier la taille de l'espace de swap. Vous devriez aussi redémarrer sous FreeBSD et vous assurer que tout marche comme prévu. Si ce n'est pas le cas, vous avez probablement utilisé la mauvaise partition pour le swap (depuis Linux). La seule solution est de réinstaller FreeBSD et réessayer. On apprend beaucoup par l'expérience. :-)